du problème de mener une enquête
- Par Nick Gardel
- Le 01/12/2010
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Le cercle d'agréables compagnies (3)
Une chose dont on ne se rend pas compte quand on lit une histoire policière, c'est que c'est rudement compliqué de mener une enquête. Dans le cas de mon histoire, je m'étais rajouté un problème supplémentaire si je voulais garder une certaine logique. Mon héros n'ayant aucune légitimité pour cela, il fallait que j'évite l'écueil du néophyte qui devance les services de police en interrogeant à tout va des gens qui n'ont aucune raison de lui répondre...
En fait, j'ai rapidement pris le parti d'inscrire les doutes de mon personnage dans le texte. Il ne mène pas vraiment une enquête, il la subit. Cela m'a permis de contourner le maximum de situation illogique. Ce personnage se concentre sur son but principal : trouver un coupable meilleur que lui !
Ce n'est d'ailleurs que lorsqu'il est innocenté qu'il se met à aider la police. Cette aide restant quasi-anecdotique.
Beaucoup de lecteurs se sont inquiétés que je ne livre pas de "vraie" fin à cette enquête. La raison est simple : arrêter le coupable n'est pas la priorité du héros, et le roman est écrit à la 1ère personne ! Je suis donc resté logique (je crois) jusqu'au bout.
Mais je n'en avais pas fini avec ces personnages...
à suivre.
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